Serons-nous transformés en "poulets dans un micro-ondes" par l'environnement électro-magnétique.

 

Les communiqués de presse qui ont succédé au CES de Las Vegas nous ont décrit le Monde de demain comme un monde dans lequel nous serions tributaire de notre Androïde qu'il soit Apple, Samsung ou autre pour vivre dans notre appartement et commander les actions de notre vie domestique.

Il semblerait que les journalistes ont subit une forte pression des lobbies informatiques, et sans doute quelques substanciels avantages en nature qui leur a sans doute provisoirement occulté la raison et leur esprit critique.

Certains ont même osé titrer "Le câble c'est fini". Devant ce déferlement médiatique, il est sans doute vrai que les consommateurs vont être ébranlés dans leurs convictions et pour un temps différer leurs investissements câblés en attendant ce nouveau monde idyllique qui nous est promis. Ils vont même sans doute oublier certains désenchantements passés pour faire communiquer la WI-FI d'un bout à l'autre de l'appartement.

Le problème principal, que certains écologistes ont effleuré vite ramenés au niveau d'illuminés, ce sont les influences néfastes que peuvent provoquer la multiplicité des ondes électro-magnétiques sur les individus. Pour le moment, les intérêts économiques liés à ces nouvelles technologies ont rendu les services publics sourds aux quelques plaintes déposées. Mais cela ne durera pas.

Aujourd'hui, déjà, nous obtenons de grands résultats avec nos câbles de liaison blindés en Mumétal, matériau pouvant seul dévier ces ondes électro-magnétiques dont les champs peuvent générer des courants sur les conducteurs (effet d'antenne).

Pour le moment nous ne pouvons pas protéger votre cerveau et votre système nerveux des champs électro-magnétiques, mais nous pouvons protéger vos précieuses liaisons entre appareils. Nous sommes d'ailleurs actuellement les seuls, compte-tenu du coût très onéreux de ce matériau.

Sans doute d'ici quelques années la multiplicité des émissions "sans fil" sera-t-elle réglementée, mais en attendant il appartient à chacun de se protéger et surtout de ne pas faire entrer ces systèmes chez soi.

Jean-Claude Tornior